Quand la maladie rencontre les sentiments

Je triait les herbes en attendant le retour de mon mentor, quand l'odeur d'un autres chat me vint. C'étais soupir, il avait integré le Clan il y à peu. Je m'en rappellais bien, à 'époque ses yeux venait d'être percés et il avait acccompli un long voyage.
Le chaton éternuait, il semblait mal. J'accouru vers lui et m'aquitta vite de ma tache.
-Qui a-t-il tu ne me semble pas en bonne forme. Vient dans mon antre et explique moi.
Songe Etoilée -sa mère adoptive- le laissa et il me suivit dans l'antre.

Il suivit Nuage de Libellules dans son antre et lui expliqua :

- J'éternue depuis ce matin et j'ai la tête qui tourne... Et j'ai mal à la gorge, aussi.

L'apprentie guérrisseuse aquiecsa et s'éloigna. Elle revint avec des herbes dont Soupir connaissait l'odeur, mais était incapable de dire leur nom.

Je revint avec un ballot de feuilles dans la gueule. J'invita mon hôte à se mettre à l'aise :
- Viens sur cette mousse.
Je tappa le sol de la queue pour qu'il repère à l'oreille la place de la mousse.
Je choisis les bonnes plantes. J'étala du miel sur une feuille et la tendit devant le museau de Soupir.
-Tiens lèche ça, c'est pour ta gorge

Nuage de Libellules lui tendit une feuille racouverte de miel.

- Tiens, lèche ça, c'est pour la gorge, lui dit-elle.

Volontier, songea Soupir qui n'attendait que d'être guéri. Il fit ce que lui demanda l'apprentie.

- Nuage de Libellules, tu n'es pas triste d'être... différente ? demanda-il à l'apprentie.

Je préparai la Grande Camomille quand une voix m'interppella:

- Nuage de Libellules, tu n'es pas triste d'être... différente ?

Je ne comprenais pas, qu'exprimait-il par différente je ne me sentais pas différente.

- Je ne comprends pas ta question, je ne suis pas différente, en aucun point !

Sa question m'avait contrarié, il avait l'air de sous entendre anormale par différente.

-Je veux dire... Tu es seule avec ton mentor, tu ne fais pas... tu n'apprends pas les mêmes choses que les autres...

Soupir senti qu'il l'avait vexé. Il était différent, lui aussi. Mais en un autre sens. Il était deux fois différent, d'ailleurs. Il ne venait pas d'ici et... il... ne voyait pas, il ne voyait plus.

- Non, je ne me sens pas différente, c'est la voie que j'ai choisis, c'est mon destin
,lui crachais-je au visage.
Je lui poussa la Grande Camomille devant le museau et m'enfonça au fond de la petite caverne. Je lappa un flaque d'eau fraiche pour me remettre les idées en place.

Nuage de Libellule était vexé et lui aussi. Elle s'en alla au fond de la tanière. Soupir se rendit alors conte qu'il avait faim. Très faim. N'osant pas demander, il s'en alla vers le tas de gibier. En chemin, il commença à tousser. Puis à tousser. En reprenant son souffle, il aspira de la poussière, ce qui le fit faire une crise de toux. Il toussa sans relâche et commença à se tortiller par terre.Il n'en pouvait plus. Sa gorge était irritée, ce qui lui fit mal de plus en plus. Certains guerriers le remarquèrent, et commencèrent à se rassembler autour de lui, paniqués. Puis, un des guerriers au l'intelligence ( --' ) d'aller voir l'apprentie guérrisseuse. Celle-ci accoura, affolée.

J'accourru. Mais qu'es ce qu'il lui avait prit de partir de la tanière !
- Aidez moi à le transportez dans la tanière, ordonnais-je au guerriers qui regardait la scène appeuré.

Lorsque la crise étais terminé et que le malade avait repris ses esprits je lui cria :
-Mais qu'es ce qui t'a pris de sortir de la tanière sans mon autorisation. J'ai bien assez de mal à te soigné sans mon mentor et toi tu pars. Tu veux te tuer !?

-[...] Tu veux te tuer ?! hurla l'appretie.

Soupir ne voulait pas faire de mal. Il voulait juste... Eviter de la déranger ! Tout ce qu'il faisait était mal. Décidément, Nuage de Libellule ne l'aimait pas.

- Je ne voulais pas te déranger, murmura-t-il dans une petite voix.

- Mais je suis la pour être dérangé ! Je suis l'apprenti guerrisseuse. C'est mon devoir de satisfaire les gens.
Bon, que voulais tu faire dehors ? Je vais le faire à ta place.

- Mais je suis la pour être dérangé ! Je suis l'apprenti guerrisseuse. C'est mon devoir de satisfaire les gens.
Bon, que voulais tu faire dehors ? Je vais le faire à ta place.

Cette demande toucha Soupir. Pourtant, c'était normal, mais il perçu de la gentillesse dans sa voix.

- Je voulais juste manger, dit-il. Mais ce n'est pas la peine, laisse. Je vais attendre. Je ne suis pas prioritaire.

- Les malades font partis des prioritaires.
Sans attendre mon du je sortit de l'antre et me dirigea vers le tas de gibier.
Il étais maigre.
Heuresement, une patrouille de chasse rentrait. Ils déposèrent leurs proies- à savoir : un mulot un lapin et une pie.
Je prit la pie. La jugeant un peu trop grosse je pensa que je pourrais la partagée avec Soupir.

Je déposa la proie devant son nez et dit.
- Il n'y avait que des proies trop grosse ou trop maigres, celle -i étais entre les deux mais reste tout de même grosse. On partage ?

- On partage ?

- Bien sûr, répondit Soupir.

Il s'accroupi alors devant la proie et elle aussi. Ils commencèrent à manger tout en sentant le souffle de l'un comme de l'autre. Soupir trouva alors la partie la plus délicieuse de la pie, à savoir le commencement de l'aile. Il la découpa soignesement et la tendit vers Nuage de Libellule.

Je souris.
C'étais une belle façon de se racheter après l'embrouille de tout à l'heure.
J' accepta l'offre. Je prit délicatement le morceau de viande dans ma bouche et le savoura.
Quand le repas fut finis je sortis la carcasse de l'oiseau puis demanda au malade :
-Comment te sens tu à présent ?

- Comment te sens-tu ? demanda l'apprentie.

- Je vais mieux, ma gorge ne me fais plus mal, mais *éternuement* j'éternu toujours, répondit-il. Désolé de te déranger, surtout.

- Ça ne me derange pas, comment pourrais-je devenir guérisseuse si personne n'est malade.
Bon je vais tec chercher du miel.
Je revint avec du miel sur une feuille et je lui donna. Il la lécha.
Il se faisait tard, la nui étais tombé.
-Maintenant tu devrais dormir, luis conseillais-je
Je me retourna et alla faire de même sur ma litière.