Je suis en train de tomber,
Depuis que tu m’as laissé choir…
Je n’aperçois aucune gaïté,
Dans ce monde ou vous êtes rares.
Les meilleurs amis, si précieux…
Vous qui restez auprès d’elles ;
Qui sachez distinguer de vos yeux
Des âmes vraiment belles
Mais l’Orage croise nos destinées,
Celui-ci n’aime pas le bonheur ;
Et ne fait que les mellées,
À de gros problème de cœur.
Toi qui particulièrement,
Qui connaissais mes soucis ;
Et en souriant,
Tu me faisais comprendre,
Qu’il n’était que petits.
Avec toi j’accepte mieux,
La défaite et l’humiliation ;
Les petites pestes commères,
Car je sais qu’elles sont dans un états piteux,
De n’avoir trouver un beau Lion ;
Pour leur faire franchir des mers.
Oui tu me manque,
Oui tout est vide ;
Renfermé dans ma planque,
Alors qu’avec toi les secondes étaient rapides.
À chaque fois que j’aie un souci
Je pense à ce que tu aurais dit,
Mais les paroles n’étant pas dites par toi,
Perdent leurs effets en vers moi.
Lorsque un Orage arrive,
Je me surprends d’une haine tardive.